Ce que les administrateurs des organismes sans but lucratif devraient savoir sur les risques
L’identification et la gestion des risques sont des responsabilités de premier plan pour le conseil d’administration. Le rôle du conseil à cet égard peut toutefois varier grandement d’un OSBL à l’autre. Ainsi, l’administrateur d’un petit OSBL dont les permanents ont peu d’expérience en gestion des risques devra sans doute intervenir un peu plus directement en cette matière.
L’administrateur d’un OSBL de grande taille, par contre, peut souvent compter sur les permanents pour gérer les risques au quotidien, et son rôle consiste surtout à approuver les politiques, stratégies et grandes décisions liées aux risques. Dans un cas comme dans l’autre, l’administrateur doit savoir comment s’acquitter de ses tâches ainsi que ce qu’il doit connaître et quels éléments prendre en considération.
La publication 20 Questions que les administrateurs des organismes sans but lucratif devraient poser sur les risques s’intéresse aux points suivants :
- la façon dont le conseil peut se préparer dans l’optique de surveiller la gestion des risques et d’établir des politiques liées aux risques
- ce à quoi le conseil devrait s’attendre de la part des permanents en ce qui concerne l’évaluation des risques et l’élaboration de stratégies visant à les gérer
- les informations que le conseil doit s’attendre à recevoir de la part des permanents concernant le risque et la performance, et ce qu’ils ont appris des crises
- la façon dont le conseil peut évaluer sa propre efficacité relativement à la surveillance de la gestion des risques
- un modèle de registre des risques
- des suggestions d’assurances dont votre organisation peut avoir besoin
- une liste pour la planification de la poursuite des activités
La publication comprend également :
- un modèle de registre des risques
- des suggestions d’assurances dont votre organisation peut avoir besoin
- une liste pour la planification de la poursuite des activités
La présente publication est revue annuellement pour en évaluer la pertinence et l’exactitude.